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    Le bus 183

    J’attends le bus, au bord de la RN 305 à Vitry. Ligne 183, direction Paris Porte de Choisy. Saloperie de temps, il pleut. Mais bon, il y a un abribus providentiel, un peu tagué certes, mais qui protège de la pluie, c’est le principal. Mais voici qu’arrive une connasse de la France profonde, une mèragosse de banlieue, une de ces pondeuses incoercibles qui surpeuplent la terre d'une inutile progéniture, qui demain ira grossir les rangs des chômeurs… En attendant, cette abrutie, flanquée d’un moutard au nez morveux qu’elle tient contre elle, allume son briquet. Clope au bec maintenant, elle enfume généreusement la tronche de son chiard qui tousse déjà… Cette imbécile de mère, outre le fait qu’elle emmerde tous ceux qui comme moi, sont sous l’abribus, ne comprend même pas pourquoi son môme tousse ! Elle ne fait nullement le lien avec la clope ! Ce soir peut-être elle ira consulter son médecin : « Docteur, je ne sais pas pourquoi mon rejeton tousse comme ça !...oui, docteur ça lui arrive souvent ! je ne sais pas pourquoi ! Il doit être fragile des bronches ! »… Et le toubib, rien qu’en reniflant de loin la mèragosse qui refoule du goulot sa nicotine et empeste la clope à dix mètres alentour, sait bien à quoi s’en tenir : encore un enfant victime de la tabagie parentale ! Mais il sait aussi que toute leçon serait inutile. Les fumeurs sont des gens de mauvaise foi, qui sont dans le déni, la négation constante du mal qu’ils occasionnent. Alors le toubib prescrit quelque poudre de perlimpinpin et encaisse ses 23 euros. Faut bien vivre. Et la bonne femme repart avec son chiard sous le bras. Elle lui démolit les poumons, lui bousille peut-être sa vie d’adulte en toute impunité ! Et ne lui dites pas qu’elle est une mauvaise mère ! Elle vous arracherait les yeux !...


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    Un goûter au Zimmer – à Paris –

    Le Zimmer est un bel endroit à Paris. C’est une brasserie prestigieuse, fondée par de riches Alsaciens ayant fui cette belle province d’Alsace après l’invasion allemande de 1870. Ces Alsaciens ayant choisi la France ont pris un nouveau départ, en créant la Brasserie Zimmer, place du Châtelet. Superbe décor fin 19è siècle, dans lequel les ors brillent et les rouges flamboient, dans un luxe de bon aloi au confort feutré. C’est là que deux amis, Arlette et David, nous avaient invités pour un fort sympathique goûter… Bien  installés dans de moelleuses banquettes recouvertes de velours, on a vu arriver les tasses précieuses et les fines viennoiseries… Mais hélas, la clope est là et ses fumées toxiques ! Oui, je sais, il y a la loi anti-tabac et gna-gna-gna !  Je sais !... Pas de fumeurs dans la salle, ils sont cantonnés sur la terrasse extérieure, avec vue sur la place du Châtelet, eux ! Oui, mais comme il faisait chaud en ce  beau jour d’été, les portes étaient grandes ouvertes entre la terrasse extérieures et la salle ! Et la fumée se fout éperdument des lois ! Elle suit tout naturellement le courant d’air qui se crée naturellement entre la terrasse extérieure et la salle au beau décor ! Les fumeurs s’en foutent : ils sont « dans leur droit »… Sauf que le droit est mal fait… Et voilà comment, au Zimmer, vous payez votre café bien plus cher qu’ailleurs, pour le déguster dans l’odeur de la clope, alors même qu’en restant dans la salle, vous êtes censé pouvoir respirer un air non pollué par le tabac ! Au Zimmer, c’est raté ! Si vous voulez prendre un pot dans un beau décor, évitez donc la Brasserie Zimmer, en attendant que de nouvelles lois nous permettent enfin de pouvoir respirer sans être emmerdés par le sans-gêne et l’égoïsme impénitent des fumeurs…


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    Huit fois debout – film de Xabi Molia – 2010 –

    La crapulerie tabagique est encore montée au créneau dans ce film, avec la complicité active du réalisateur Xabi Molia. Tout au long des plans, de multiples scènes de clopes nous sont imposées sans la moindre nécessité, dans des conditions qui méritent d’être décrites… Lisez, ça vaut le jus (de chique !)

    Une scène dans la cuisine, deux bonnes femmes qui jacassent, deux grandes gueules qui s’insurgent contre l’expulsion des locataires, clope au bec devant le môme de six ans qui est là ! Excellent pour les bronches du gosse !... Un peu plus loin, trois copines bavassent autour d’une tasse à café : clope obligatoire bien sûr !... Bien entendu, on retrouve une des connes à un repas familial, à table ; la conne sort ses clopes et en allume une ! Que ça emmerde les autres, que ça les intoxique, c’est bien le cadet de ses soucis ! Il ne lui est pas venu à l’idée d’aller fumer sa clope dehors !... On continue par plus fort : on voit la même bonne femme en allumer une… je vous le donne en mille… : dans une chambre d’hôpital, en présence d’un malade !!!... Et puis, cerise sur le gâteau, cette mère qui croit aimer son chiard sous prétexte qu’il lui est sorti d’entre les cuisses et que ça suffit à donner des droits, se balade en voiture, son moutard à côté… Et comme c’est bien mieux de conduire d’une seule main pour améliorer la circulation automobile (c’est bien connu !) elle allume encore une cigarette ! Excellent encore pour les poumons du môme, ça, la clope dans l’habitacle d’une bagnole ! Comble d’hypocrisie saloparde, elle demande au môme : « ça te dérange pas, la fumée ? » !!! Question de pure forme, le môme n’ose pas protester devant cette sorte de pétasse névrosée qui lui tient lieu de mère… Quelle tristesse, que de voir cette propagande éhontée pour un produit toxique et dangereux, délibérément organisée par de nombreux cinéastes ! Et en plus, en présence d’enfants ! Dénonçons ce scandale !... Et ouvrez les yeux, regardez les films qui sortent sur vos écrans, et dites-vous bien que les clopes qu’on y voit à longueur de scènes ne sont pas là par hasard !...


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  • Ce blog a plusieurs objectifs

    -  montrer comment les lois anti-tabac sont insuffisantes, et ne permettent pas aux non-fumeurs de respirer sans fumée de tabac..

    - montrer comment nombre de crapules continuent, en dépit des méfaits de la clope d'en faire une publicité sournoise, une hypocrite promotion constante, en particulier à travers le cinéma...

    Toutes et tous qui me lisez, n'hésitez pas à m'apporter vos témoignages personnels, ils seront publiés si vous le souhaitez !

    Et un avertissement aux fumeurs : Vous avez le droit de fumer, le droit de vous inoculet le cancer ! Le suicide est libre, profitez-en, ça vous regarde ... Mais vous n'avez pas le droit d'inoculer votre saloperie aux autres ! Le suicide des autres... c'est un meurtre et là, ça nous regarde !...

    Les fumeurs sont les SEULS DROGUES qui obligent les autres à consommer leur drogue ! Eh oui, l'alcoolique ne vous fait pas boire à son goulot, l'héroïnomane ne vous pique pas avec sa seringue !

    Envoyer sa fumée dans les bronches d'autrui, c'est une atteinte au corps des autres ! de quel droit ?... Cela devrait être sanctionné au même titre que toutes les autres agressions corporelles : une gifle, une main au cul peuvent être sanctionnées par la loi, et pourtant ce n'est pas cancérigène ! alors, soyons un peu logiques ! Sanctionnons les fumeurs qui agressent autrui...


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  • logokazeoL'Enfant d'en haut, film de 2012 

    Dès la bande-annonce de ce film, on a une super promo pour la clope ! On y voit la jolie Léa Seydoux devant une table à repasser ; d'une main ferme elle tient le fer, et de la même main... elle tient une cigarette que l'on voit se consumer en fumant !!!! Quelle crapulerie, que de tourner une telle scène ! Et ne me dites pas que c'est par hasard qu'elle a été ainsi tournée ! dans un film, dans un livre, rien n'est gratuit, et chaque détail a été voulu et  placé par l'auteur ! Ici, on voit très bien l'intention publicitaire, car la caméra quitte le plan d'ensemble et fait un gros plan, sur lequel on voit juste le fer à repasserr, la main et la clope ! Scandaleux !  Cette cigarette n'a strictement rien à foutre ici ! On n'est pas dans un tripot des années 30 ! En outre, près de Léa Seydoux et de sa clope, il y a un môme d'une dizaine d'années, convié malgré lui à respirer cette merde ! Et on parle de protection des droits de l'enfant !!!! à sa taper le cul par terre ! Honte à la réalisatrice Ursula Meier ! Honte aussi à léa Seydoux, qui commence sa jeune carrière en se déglinguant à la clope ! Un bel avenir sans doute !


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